La presse s'est abondamment fait l'écho, en me citant nommément, de la problématique de la saisie des agendas utilisés par Monsieur Nicolas SARKOZY, alors qu'il était Président de la République.

Malgré de nombreux efforts, il s'est avéré impossible de faire comprendre aux différents organes de presse que JE N'AI JAMAIS DEMANDE L'ANNULATION DE LA SAISIE DES AGENDAS de l'ancien Président de la République.

Pour en être convaincu, il suffit de se reporter aux conclusions que j'ai développées publiquement sur ce point à l'audience du 11 février 2014 de la Chambre criminelle de la Cour de cassation (cf. notamment le texte surligné en vert à la page 9) en cliquant sur le lien ci-dessous :

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L'arrêt rendu le 11 mars suivant qui est conforme à mes autres conclusions dans cette affaire peut être consulté et téléchargé ci-dessous. La partie relative aux agendas est ainsi rédigée :

"Attendu que M. Sarkozy, mis en examen du chef d'abus de faiblesse, a fait l'objet, le 7 octobre 2013, d'une ordonnance de non-lieu à renvoi devant le tribunal correctionnel, devenue définitive à son égard ; Qu'en application de l'article 606 du code de procédure pénale, il n'y pas lieu de statuer sur son pourvoi devenu sans objet ; DIT n'y avoir lieu à statuer ;"

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